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Benjamin Leroux, Advens : Security-as-a-service Factory pour industrialiser vos services de Sécurité clé en main

janvier 2019 par Marc Jacob

A l’occasion du FIC 2019, Advenslancera sa nouvelle génération de ses services de sécurité clé-en-main, proposés en mode « security-as-a-service ». Ainsi, avec cette nouvelle offre Advens renforce son positionnement et inaugure sa Security-as-a-service Factory, l’entité qui fabrique, industrialise et fournit des services de sécurité clé en main. Pour Benjamin Leroux, Directeur Marketing d’Advens présente sa stratégie.

Global Security Mag : Quelle actualité allez-vous mettre en avant à l’occasion de la 11ème édition du Forum International de la Cybersécurité ?

Benjamin Leroux : Advens lance la nouvelle génération de ses services de sécurité clé-en-main, proposés en mode « security-as-a-service ». Pour nous ce modèle est le seul levier pour simplifier la démarche sécurité, la rendre agile et faire face à la pénurie de ressources.

Spécialiste de ce modèle, Advens renforce son positionnement et inaugure sa Security-as-a-service Factory, l’entité qui fabrique, industrialise et fournit des services de sécurité clé en main. Elle regroupe aujourd’hui une cinquantaine d’experts dédiés et s’appuie sur la plateforme mise au point par la R&D Advens depuis 3 ans et qui intègre nativement l’intelligence artificielle et a été saluée par les Silicon Cybersecurity Awards (meilleure utilisation de l’IA dans une solution de sécurité).

L’offre va s’étendre au-delà de mySOC (SOC-as-a-Service) pour couvrir de nouvelles problématiques. L’usage augmenté des technologies de sécurité, la protection continue des endpoints et des environnements cloud, la conformité tout-en-un (LPM / NIS, GDPR, ISO 27001…) font ainsi partie des nouvelles solutions fournies par la Security-as-a-service Factory.

GS Mag : Selon vous, qu’ils soient d’ordre psychologique, technique, humain ou financier, quels sont les défis liés à la sécurité et à la privacy « by-design », thème du FIC 2019 ?

Benjamin Leroux : Pour nous, le principal challenge lié au « by-design » est avant tout humain et organisationnel. Il faut inverser la tendance : ne pas se préoccuper de la sécurité à la fin d’un projet ou quand il est trop tard. Il faut que la sécurité et la conformité deviennent des réflexes, au même titre que l’expérience utilisateur, la performance ou la qualité.

Pour y arriver, les solutions peuvent aider. Mais il faut avant tout une prise de conscience des organisations et notamment du management. Le RSSI et les équipes Sécurité contribuent à cela mais un déclic venu d’en haut va faciliter grandement les choses.

GS Mag : Quels sont vos 3 conseils aux organisations pour relever ces défis ?

Benjamin Leroux : Nos trois conseils sont les suivants

1) Il faut sensibiliser et communiquer - toujours et encore - pour expliquer l’importance de ces défis mais aussi pour rassurer sur l’existence des solutions et des méthodes pour y arrive simplement
2) Il faut que les différentes fonctions relatives à la sécurité, à la privacy et à la conformité avancent ensemble et de concert, pour ne surcharger les équipes et les Métiers et brouiller les messages
3) Pour réussir tout ça il faut se concentrer sur des travaux à valeur ajoutée et s’appuyer sur des services de sécurité et de conformité industrialisés pour gérer le « quotidien ».

GS Mag : Qu’est-ce qui a changé pour les entreprises avec le RGPD et où en sont-elles dans leur mise en conformité ?

Benjamin Leroux : Le règlement européen a permis de rappeler l’importance des données personnelles et l’importance de la protection des données sensibles en général. Les travaux menés en 2018, avec anticipation ou dans l’urgence, ont permis aussi de se rendre compte qu’une démarche de conformité et de maitrise des risques ne s’improvise pas !

Tout cela a contribué selon nous à accroitre la maturité des uns et des autres. Cependant il reste encore beaucoup de chemin à faire. La mise en conformité ne s’accompagne pas toujours d’une mise en sécurité. Et la conformité n’est pas encore atteinte pour tous. Il reste quelques challenges autour par exemple de la donnée (comment suivre son cycle de vie en toute conformité ?) ou par exemple autour des nouveaux usages (comment concilier innovation et conformité dans un mode agile et parfois très pressé ?).

GS Mag : A quoi devons-nous, selon vous, nous attendre en 2019, que ce soit du côté de l’attaque ou de la défense ?

Benjamin Leroux : Malheureusement du côté de l’attaque, les choses ne risquent pas de se calmer ! On va voir apparaitre encore plus de malwares et d’attaques ciblées (à l’échelle d’une entreprise ou d’un secteur d’activité comme ça a été le cas pour les malwares bancaires ou d’autres industries) et on peut crainte des incidents de très grande ampleur, avec le développement de l’IoT.

Quant à la défense, rassurons-nous : ses capacités augmentent et les nouvelles technologies permettent de rendre la défense encore plus pertinente. A titre d’exemple, notre SOC exploite de plus en plus l’intelligence artificielle. C’est une bonne façon d’améliorer la réactivité et la pertinence de la défense. Cela ouvre la porte à des protections automatisées et de mieux en mieux orchestrées. Et cela devrait permettre aux organisations les moins matures d’en bénéficier et d’augmenter leur niveau de protection.

GS Mag : Quel est votre message à nos lecteurs ?

Benjamin Leroux : Développement du security-as-a-service, innovation dans notre plateforme de détection et d’analyse, nouveaux partenariats technologiques : Advensa beaucoup de choses à annoncer au FIC. Venez-nous voir pour échanger sur vos challenges. Nous aurons une solution !

- Pour tout renseignement :

Benjamin Leroux
marketing@advens.fr
06 88 55 23 94
www.advens.fr


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